mardi 18 janvier 2011

Mont de Marsan 77 - Saturday - Pub Rock Day


 

SHAKIN' STREET






















Fabienne Shine (voc) Corinne Marienneau (bs) Louis Bertignac (second g) Eric Levisalles (g) Jean-Lou (d)

D'habitude dans les fêtes, je préfère le lendemain quand y reste que les vrais amis, là les invités du lendemain on les avait bien aimés mais un an avant, un bail quand on a 20 ans ; et oui j'ai eu 20 ans à Mont de Marsan, un bien beau cadeau d'anniversaire. Mais on est restés quand même, faut dire que c'est loin MDM et on pensait dormir pendant le concert des vieux et repartir après…
Mais là RELOU’S, quoi relou's, qu’est ce que j'ai fait....mais non, les LOU's ont rejoué; moi j'ai toujours cru que Marc y savait que j'avais aimé et que pour mon anniversaire, y me faisait un cadeau du coup : REBORN TO FORNICATE !!!
Nous on aurait bien aimé, mais avec le groupe d'après,
SHAKIN STREET: allez voir la vidéo chez le Christophe, vous comprendrez !!!*
Mais baissez le son car vous comprendrez aussi pourquoi on n'a pas écouté, juste regardé.
Sinon la moitié du groupe a depuis fait fortune dans les télécoms !






Rien à dire. La division te déchire :

MARIE ET LES GARCONS
















toutes les possibilités sont détruites, plus rien à dire.
Maxi bleu usé jusqu'à la corde, mais les new-yorkais dans l’arène, ce fut le lendemain!



Marie Girard (d), Patrick Vidal (g voc), Jean-Marc Vallod (bs), Eric Fitoussi/Eliasson (g)

*Claude, Faut comprendre...mes amis aussi regardent ma Page...


In my practice, in a party, I like better the next day, when real friends are left. Like in this place one year before, we love them too, an eternity for a 20 years old boy. Yes, it was my birthday during the festival, a wonderful present. We remained 'cause it's a long way to Mont de Marsan and contemplated to take a short nap during the old music players show, and we were off to Normandy again. But... Lou is back. LOU's on stage a second time. I still believe it was the Marc's birthday present, he knew I love these girls. A great present indeed : 'Born to Fornicate again' just for me !!!

SHAKIN' STREET : watch the video on Christophe's page* and understand ! Don't forget, play low and undersatnd why we didn't hear, just see them. Since, half of the band make one's fortune in communication business.

Nothing to say. Division tear yourself. MARIE & LES GARCONS. All possibilities off, nothing to say more. Blue 12" wears out like a rope, the NYorkers in the bullring, but not before the day after !

* Claude, Understand Me : my Friends have a look on my Page too.




 

TYLA GANG

















Sean Tyla




Sean Tyla (voc g) Bruce Rowlands (g) Brian Turring (bs) Michael DesMaris (d)

On s'apprêtait à somnoler quand un géant barbu pris possession de la scène et réveilla tout le monde : le TYLA GANG revenu du fond des seventies a littéralement mis le feu aux arènes, balançant son rock classique à un public enfin en terre connue ; premier vrai succès populaire depuis le début du festival.
Pas très punk et à la réécoute de Suicide Jockey du TYLA, on se demande ce qu'il faisait là ! dans un festival punk ! A cause de la tenue de Sean Tyla ? La même que Sting, en plus prolo !




We began to sleep when an hairy giant take possession of the stage and awake the audience. The TYLA GANG back from the deep early 70's burned the bullring. He blow his classic rock to the people in a place know to him. It was the real first ovation from the outset of festival. Not a punk band, and when I play again his 'Suicide Jockey', I ask myself why he was in this festival !
Because he worm a more proletarian version of the Sting's mecano suit ?

 

LITTLE BOB STORY




















SECOND TIME AROUND MdM For LBs (For Damned & Bijou Too).... (For Tyla Gang & Hot Rod TOO)
Robert Piazza (voc) Guy Georges Gremy (g) Dominique Guillon (g voc) Barbe Noire Lelan (bs) Mino Quertier (d)

- EP : Eponymous EP : I'm Crying / Come On Home / I Need Money / Baby Don't Cry (Chiswick7 - Dec 76)




Les Dogs... z'étaient pas à Mdm ! Hum, hum... en effet, ils n'ont pas joué, mais ils étaient présents, je viens de l'apprendre. De toute façon, ici, les Dogs sont partout chez eux. Remarques, Tibob aussi...

Little Bob Story

Ensuite on s'est retrouvé entre « pays », imaginez, 15 bornes, Tancarville, le Verazzano normand, encore 15 bornes et Le Havre, sorte de Detroit city rock du pauvre avec son disquaire mythique (pas le Massacre, le Crazy !) et ses salles des fêtes soviétiques au fond de banlieues sordides. Pourtant c'est là que notre éducation rock commençée bien avant Rouen la bourgeoise, le bonheur pour des « ploucs » basés à égale distance des 2 « capitales » entre 76 et 80.
Du coup le BOB, on le connaissait.

Du coup le Barry était tout revigoré et nous effectua son habituelle séance de gym : pompes, suspendu aux échafaudages précaires de la scène ; les Fleshtones n'ont rien inventé, me souffle le Killer, en me rappelant le seul souvenir tangible du passage d'EDDIE & THE HOT RODS, les exercices physiques du chanteur !!!
Pour ses concerts à rallonge à la salle Franklin, buvette CGT et service d'ordre dockers dans le dernier bastion rouge avant que le Georges ne fasse ses valises, laminé par les roses bonbons.
Et une fois de plus, le BOB mit le feu, secondé par le meilleur gang issu des faubourgs havrais (ggg forever !).
Faut dire qu'il était (déjà) malin le Bob, il avait écrit la chanson idéale pour la région. RIOT IN TOULOUSE embrasa des arênes enfin réveillées.


Riot in Toulouse

Bob : " Bien sûr que j'peux chanter en Français, y'a pas écrit DEBILE MENTAL!"

Little Bob s'explique en un clic ici :
Little Bob

Rock-Interviews / Anne-Marie Mondan / Interview Robert Piazza


After we were in our small world. Imagine it : only 15 kilometres, Tancarville bridge, Norman Venizia, 15 kilometres more, and you arrive in Le Havre, like a Detroit downtown for really poor people, in his famous records shop (not THE Massacre, but THE Crazy...) and his Soviet festival-room in the bottom of one's dirty outskirts. However, a long time before Rouen The Burgher, our rock education began here, a good fortune for 'dickies' who lived on the middle of the two big towns, during 76 to 80.
No time-stop for the gig salle Franklin, you can drink CGT with the last red docker who ensure himself the security in his last bastion, before the George's disappearing, laminated by the pink sweets.

One more time, Bob light up the audience, supported by the best band in Le Havre outlying parts (ggg forever !).
We were in the morning yet, Bob had THE ideal song in the right moment : 'Riot in Toulouse'. With him, it was Fiery Bull-ring in Mont de Marsan, last but not least awake.

After, The Barry was full reinvigorate and he make his usual session of gymnastic, his shoes hanging on the fragile stage scaffoldings. 'No mother of invention for the Fleshtones', call me a breath, KIller. He bring back the only thing of the Eddie and the Hot Rods set occur in my mind, are the singer physical gestures.


 

EDDIE AND THE HOT RODS


















Barrie Master (voc) Dave Higgs (g) Graeme Douglas (g) Paul Gray (bs) Steve Nichol (d)



Hot Rods2

La suite fut pire, ni Killer ni moi ne nous souvenons du DR FEELGOOD, même prèts à jurer qu'il ne joua pas ce soir là !!!! Exit le Wilko, la descente démarrait pour la tête de pont du renouveau rock de 75.


 

DOCTOR FEELGOOD

















Lee Brillaux

Continuation was worse. Neither Killer and me have a recollection about Dr FEELGOOD. Without the paper, we were ready to swear they don't play this day in this place. Exit Wilko, after 75, it was the start of Feelgood's descent.




 

BIJOU















Vincent Palmer (voc g) Philippe Dauga (bs voc) Dynamite Yan (d voc)

Ensuite vinrent les JA..., euh les BIJOU sans X, nous on y a cru aux JA... même look, costard cravate, même présence du chanteur en version plus saccadée mais quand ils se mirent à jouer, on comprit les paroles et notre erreur, sans la regretter.
Prestation impeccable du trio, comme d'habitude, je les ai jamais vu mauvais les BIJOU et pour cloturer la soirée, leur rock énergique mais mélodique fit merveille.
« Bijou fait danser avec la fille du père noêl, Palmer a quand même la classe aussi petit soit il ». Oui mon Kelly, mais je sens pointer l'humour sans oser y croire, pas toi, pas ici, au moment de conclure sur la deuxième journée de l'évènement punk français le plus important !

Oui, les RINGS ont joué, mais plus loin quelqu'un vous expliquera pourquoi vaut mieux pas en parler.


Bijou2

After was the JA... heu, sorry, BIJOU, a band with no X. Us, we believe the JA... are coming : same look, cravats and suits very same, an identical frontman presence for this 3 music players band in jerks. When they started to play, we undertood our mistake, with no feel regret about it. Infallible set for the band from mere habit. I'd never see Bijou in a bad prestation. 'You can dance with Bijou and the Santa Claus' daughter, as Palmer is a small man, as he is in possession of the upper class'. Sure, my Kelly, but I guess in these words a sort of brazen humour. Please, not now, not here, when it's time to conclure the second day of the most important punk-reunion event of all times !

Yes, RINGS have played, it's true, but one will explain here why it's better to shut up about it.

Bijou Pins

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